20
FéV
2017

Une protéine d’horloge ralentit le vieillissement locomoteur chez la drosophile, indépendamment de sa fonction circadienne

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A lire dans PLoS Genetics

Cet article de l’équipe de Serge Birman (Laboratoire Plasticité du Cerveau, ESPCI Paris/CNRS, PSL), en collaboration avec Laurent Seugnet (Centre de Neurosciences de Lyon, Inserm/CNRS/UCBL1), étudie les effets de mutations dans trois gènes d’horloge de la drosophile (timeless, cycle and Clock) sur la longévité et la perte de capacités locomotrices avec l’âge, qui est une caractéristique quasi-universelle du vieillissement animal et humain.

L’ensemble des résultats établit un nouveau lien entre circuits circadiens et dopaminergiques dans le cerveau de la drosophile. Ce lien pourrait aider à élucider les influences réciproques entre deux caractéristiques majeures de la maladie de Parkinson : le dysfonctionnement du système circadien et la neurodégénérescence dopaminergique.

A noter qu’Alexandra Vaccaro, première auteure de cet article, avait obtenu une bourse de voyage de la SFC pour présenter ses résultats préliminaires au congrès de l’European Biological Rhythms Society à Munich, en 2013.

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